La pandémie s’annonce longue et très restrictive, et c’est correct. Comme on dit : safety first! Ça ne m’empêche pas de vouloir rester en forme, peu importe les décisions de notre gouvernement. J’ai donc décidé de revoir et optimiser le set up de mon man cave : mon garage et profiter de cette période d’essais et erreur pour documenter ma démarche. Bienvenu dans le Journal de quarantaine.
Il y a deux semaines, après avoir vu l’annonce de la coffee ride virtuelle du Clan Knox avec Guillaume Boivin, j’ai décidé de m’inscrire à Zwift.
Pour ceux qui ne savent pas ce que c’est, Zwift est un jeu vidéo immersif, multiplayer, d’entraînement physique, en ligne, qui a vu le jour en 2014. Zwift permet aux «joueurs» de faire du vélo (ou courir en version bêta) sur des bases d’entraînements en roulant à travers huit mondes virtuels : Watopia, Richmond, Londres, Innsbruck, Yorkshire, New York, Bologne (disponible pour certains événements de contre-la-montre) et Crit City (disponible pour les courses). Bref, si je voulais résumer en une phrase, c’est aussi immersif que Duck Hunt au bon vieux Nintendo gris, mais moins violent et avec du vrai monde au lieu de canards.
Comme vous l’avez deviné, Zwift est devenu encore plus populaire qu’il l’était depuis l’éclosion du COVID-19. Le jeu a vu ses abonnés faire un bond de géant, alors qu’une grande partie du monde est en confinement, à la maison. Je ne suis pas étranger à cette tendance. Je me suis inscrit en pensant au long terme, au confinement, et j’aime ça. Le hic, c’est que je n’avais pas tout compris et à ma première expérience, je n’ai pas réussi à me joindre au Clan Knox pour rouler leur coffee ride.J’ai donc étudié la chose.