À peu près tous les sports ont des prix étranges remis aux vainqueurs. Personnellement, je n’ai jamais compris que les gagnants de l’Indianapolis 500 boivent du lait sur le podium alors qu’il fait pratiquement très chaud et que cette boisson ne me semble pas être une option de choix. Le vélo ne fait pas exception à la règle. Dans notre beau sport bien-aimé, il y a aussi des prix qui sont inexplicables, surprenants, mais à cheval donné, on ne regarde pas la bride.
Voici les prix les plus étranges remis à des vainqueurs de courses de vélo:
Le gagnant du Tro Bro Leon, en France, une course de 204 km, dont 30 sur route non asphaltée, se voit retourner à la maison avec un cochon vivant. Ne le dites pas à PETA.
Lors de l’étape du Toledo de la Vuelta, le vainqueur a eu la chance de quitter le podium nouvellement propriétaire d’une gigantesque épée… À voir sur l’image ci-dessous.

Qui dit pays germaniques, dit charcuteries… Ce n’est donc pas surprenant qu’au Tour d’Autriche, le porteur maillot jaune se fait remettre un saucisson faisant pratiquement la longueur d’un adulte moyen!
Bien que les courses au Moyen-Orient soient un phénomène assez récent dans le monde du cyclisme, leurs prix restent assez traditionnels… Le grand gagnant du Tour d’Oman se voit remettre une dague Khanjar traditionnelle.
Enfin, le gagnant de Kuurne-Brussels-Kuurne se fait remettre un âne en peluche. La raison est assez amusante. Une ville voisine appelait les marchands de Kuurne les ânes à cause des charriots qu’ils utilisaient pour transporter leurs marchandises.
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Plus près de chez nous, le vainqueur de la Classique des Appalaches a un prix bien spécial, lui aussi, mais fort enviable. Le gagnant se mérite son poids en sirop d’érable. Heureusement pour le commanditaire, les cyclistes ayant gagné les dernières éditions ne sont pas des poids lourds.
Bref, cool ou pas, ces prix seraient beaucoup plus appréciés sur mon manteau de cheminée tout ce qui y trône présentement, sauf pour le porcelet.