Depuis quelques années, je fais de fréquentes sorties de fat bike avec l’ami Joël et chaque fois qu’on roule, on dirait qu’il doit faire un froid de canard. Lors de nos 4 dernières sorties, il faisait entre -27 et -31 degrés… Ce n’est pas chaud pour la pompe à eau. Bien qu’on finit par se réchauffer, le départ est toujours pénible et dès que l’on arrête, on se les gèle. Comme vous le savez, les extrémités (pieds et mains) sont généralement les premiers endroits à geler. Voulant éviter à tout prix les produits jetables, j’ai toujours préféré avoir froid.
Récemment, j’ai vu à l’émission Dans l’œil du dragon LA solution à mon problème : Hot Poc, des pochettes chauffe-mains réutilisables conçues pour être appréciées à l’extérieur, lors de différentes activités.
Le fonctionnement est simple. En cliquant un morceau de métal naviguant à l’intérieur de la pochette, une interaction se produit avec le liquide se trouvant aussi à l’intérieur de ladite pochette, un liquide non toxique composé de deux ingrédients : l’eau et l’acétate de sodium – a.k.a. du sel. Ce contact déclenche une réaction thermique et génère de la chaleur.

Pour ceux qui se le demandent, la pochette est faite de PVC et, en plus d’être très résistante, elle peut être en contact direct, sans danger, avec la peau lorsque le Hot Poc est activé.
Expérience du Hot Poc…
Une fois la pièce métallique cliquée, la chaleur atteindra quasi immédiatement 57 degrés Celsius pour une durée d’environ 30 minutes (petit format) ou approximativement 60 minutes (grand format).
Après l’utilisation, plongez votre Hot Poc cinq minutes dans l’eau bouillante et une fois que le liquide est redevenu translucide, sortez-le de l’eau laissez-le refroidir. Vous serez prêt à repartir!
Votre Hot Poc durera 100 utilisations, selon le fabricant. Vous comprendrez que l’on a tout juste reçu notre trio de pochettes et que nous n’avons pas encore eu la chance de le tester une centaine de fois pour voir la limite du produit. Promis, on en redonne des nouvelles.
Bref fini les doigts et orteilles gelées. L’hiver prochain, je n’aurai pas froid!