Il y a de cela quelque temps, nous avons fait la connaissance du Clan Knox sur les médias sociaux, via nos comptes Instagram respectifs @surdeuxroues et @clanknox. Au début nous avons beaucoup parlé de leur garçonnière, un centre d’entraînement privé qu’ils se sont construit dans un immeuble à bureaux du sud-ouest de Montréal et pouvant accueillir six cyclistes en même temps : soit l’équipe au complet.

La garçonnière est plus qu’un endroit pour spinner. C’est l’endroit parfait pour tenir des séances d’entraînement virtuel sur des rouleaux d’entraînement (trois rouleaux ou rollers), qui simulent mieux l’effet de la route que la traditionnelle base d’entraînement, et avec un logiciel projeté sur un écran, tenant en compte le wattage de chaque cycliste et le comparant à sa puissance afin de le faire évoluer, et rapidement. Bref, ils ont un centre à la fine pointe de la technologie et qui n’a rien à envier aux gros centres d’entraînement, mais, eux, peuvent y aller quand ils veulent, sans flamber 40$ par session. Disons qu’ils ne sont pas fous.

Ce qui nous a le plus impressionnés du Clan Knox, c’est leur philosophie un peu à contre-courant du cyclisme moderne. Attachez votre tuque… On part!

• Tout d’abord, c’est une équipe, mais ils sont aussi de très bons chums qui veulent du fun avant tout. Des « amis cyclistes ».
• Leur nom n’est pas celui d’un commanditaire, contrairement à plusieurs autres équipes. Le nom fait aussi partie de l’ADN de l’équipe : le Clan représentant le groupement, la famille et Knox représentant le nom donné aux Écossais du Sud-ouest montréalais, là où la majorité des gars habitent.
• Ils ont un kit très moderne et cool, un peu comme ceux des clubs de la côte ouest et des équipes de Melbourne en Australie.
• Ils ont Guillaume Boivin, cycliste professionnel sur route et ex-Champion canadien, comme directeur sportif.

On souhaite aux gars du Clan Knox une belle saison 2017. On ira vous encourager aux Mardis Cyclistes de Lachine quelques fois cette année.