Le premier janvier dernier, lorsque je me suis réveillé, j’étais en pleine forme, contrairement aux autres années. J’avais le goût de m’entraîner. La seule chose que j’ai faite de différente des autres années? Je me suis couché tôt et j’ai bu de façon très très raisonnable. Ce qui m’a donné une petite idée.
À la recherche d’un défi, je me suis dit que j’allais relever le défi 28 jours sans alcool. On dirait qu’une petite pause d’alcool pourrait faire le plus grand bien et il semble que ce soit très bon pour la forme physique. Selon les études, la consommation d’alcool déshydrate, réduit la récupération musculaire, altère la croissance musculaire, épuise votre énergie et réduit le temps de réaction. Tant qu’à arrêter de boire, pourquoi ne pas profiter du moment pour multiplier les entraînements et se préparer à la prochaine saison.
Voici ce que je suggère: nous pourrions individuellement nous fixer un objectif ainsi qu’un nombre d’entraînements à faire par semaine. Personnellement, je veux augmenter mon FTP et je compte m’entraîner quatre fois par semaine. Quatre entraînements en selle sur la base d’entraînement et un entraînement croisé : course à pied, ski de fond ou fat bike.
L’idée serait de se motiver chacun dans sa bulle, profiter de l’effet de groupe, malgré la COVID, et des bénéfices de la sobriété.
Faites le plein de bière, vin et gin sans alcool et trouvez-vous un plan d’entraînement parce qu’en février on se prépare pour une année 2021 qui s’annonce sous le signe du renouveau.
Écrivez-moi (courriel, Facebook ou Instagram) si vous participez au défi. Je serais heureux d’entendre votre objectif, si vous avez atteint votre objectif et comment vous avez perçu la sobriété.
Sur deux roues 