Transporter son vélo en auto est l’une des bêtes noires des cyclistes. Il n’y a pas de solution parfaite. Chaque option a ses avantages et inconvénients. Parmi les options disponibles, le support de toit est souvent considéré comme l’une des meilleures option, mais l’accès au toit peut être limitant. 61% des usagers de support de toit traditionnel considèrent leur support de toit difficile d’accès, voire même impossible d’utilisation.

Il présente une limite de taille pour plusieurs : la hauteur. Même pour les plus grands d’entre-nous, accéder au toit d’un VUS peut être un défi. D plus, lever un vélo, parfois lourd et encombrant, au-dessus de sa tête pour l’installer correctement sur le support n’est pas une tâche évidente. Cela peut être inconfortable, voire risqué.

Ceci dit, une solution rend cette façon de transporter son vélo en auto, alliant simplicité, accessibilité et sécurité : le MOS UpLift.

Le MOS UpLift : une solution ingénieuse et universelle pour transporter un vélo sur support de toit d’auto

C’est précisément là qu’intervient le MOS UpLift. Il s’agit d’un système de levage assisté qui agit comme comme un bras de levier, permettant de positionner son vélo à la bonne hauteur (61 cm / 2′ plus bas) en le descendant sur le côté de son véhicule, donc plus besoin d’avoir à soulever votre monture complètement au-dessus de sa tête.

Conçu pour rendre les supports de toit plus accessibles, cet accessoire ingénieux s’adapte à toutes les voitures ayant des barres de toit et à tous les types de supports. Résultat : l’effort est réduit, les gestes sont plus naturels et les risques de blessures ou de maladresse diminuent considérablement.

Les avantages sont nombreux :

• Accessibilité accrue : même les cyclistes de petite taille peuvent installer leur vélo facilement.
• Sécurité renforcée : la stabilité de l’appareil limite les mouvements brusques et rend l’opération plus contrôlée.
• Polyvalence : le MOS UpLift s’adapte à toutes les voitures et ne demande pas de modifications particulières.
• Confort d’utilisation : fini le stress de devoir lever un vélo lourd au-dessus de ses épaules.
• Solide : le système MOS UpLift supporte jusqu’à 125 lb,

En somme, il ne s’agit pas seulement d’un accessoire pratique, mais bien d’une amélioration significative de l’expérience de transport du vélo sur le toit.

L’installation du MOS UpLift, plus simple qu’il n’y paraît

À première vue, le MOS UpLift peut sembler intimidant. Avec ses bras articulés et ses pièces métalliques robustes, on pourrait croire que son montage est complexe et chronophage. Or, il n’en est rien. L’accessoire est livré préassemblé dans sa boîte et il ne reste que quelques vis à fixer pour le mettre en place. Aucun outil spécialisé n’est requis, et la notice d’installation est claire et concise. En quelques minutes, l’ensemble est prêt à l’emploi.

Cette simplicité est un atout de taille : elle permet à n’importe qui, même aux moins bricoleurs, d’adopter rapidement le MOS UpLift et de profiter de ses avantages sans tracas. C’est un produit pensé pour être accessible dès le départ, non seulement à l’utilisation, mais aussi au montage.

Mon avis sur le Mos UpLift

Après quelques mois d’utilisation du MOS UpLift, je peux dire sans hésiter que c’est devenu un accessoire indispensable pour mes sorties. Au départ, j’étais un peu sceptique : l’appareil a l’air costaud et je craignais que l’installation soit compliquée. Finalement, tout était déjà bien assemblé dans la boîte, et il ne restait que quelques vis à fixer. En moins de 20 minutes, c’était installé sur mon Subaru Outback, prêt à prendre la route et partir en vacances en famille.

Depuis, je l’ai utilisé pour mes sorties de gravel du week-end ainsi que pour mes déplacements vers le triathlon EPIQ. Lever et installer le vélo sur le toit n’a jamais été aussi simple et sécuritaire. Même avec mon vélo de route plus léger ou mon gravel plus costaud, je n’ai plus cette crainte de forcer inutilement ou de mal le positionner (je fais attention à mon dos – je ne suis plus jeune jeune).

Bref, le MOS UpLift m’a enlevé une bonne dose de stress logistique et m’a permis de me concentrer sur l’essentiel : rouler.