Lorsque je me suis lancé dans l’aventure du triathlon EPIQ (nage, gravel bike, trail), une question m’a tout de suite traversé l’esprit : devrais-je me changer à chaque transition ou me procurer un trisuit, une combinaison trifonction ?
L’idée de jongler entre un maillot de bain, un kit de vélo, un short de course me semblait non seulement compliquée, mais aussi risquée en termes de temps perdu.
Très vite, j’ai compris que la meilleure solution passait par un trisuit triathlon.
Après avoir comparé plusieurs modèles, mon choix s’est arrêté sur le Biemme Aero, un vêtement technique pensé pour la performance et conçu par une marque en laquelle j’ai confiance depuis 2018.

Lors de mon triathlon, j’ai eu la chance de porter le tout nouveau Biemme Aero 3.1, le modèle 2026. Ce modèle à venir est réservé pour le custom, les vêtements personnalisés, pour les clubs ou les athlètes. Biemme North America, m’a gentiment ajouté le logo du blogue sur mon trisuit. Le modèle 3.1 partage de nombreuses caractéristiques avec le Biemme Aero 2.0, actuellement disponible pour le grand public. Explorons la plateforme Aero de Biemme…
Les avantages et caractéristiques du Biemme Aero 2.0
- Coupe seconde peau : le Aero 2.0 épouse parfaitement le corps. Cette adhérence maximise l’aérodynamisme, réduit la résistance et assure un confort optimal du début à la fin de la course.
- Légèreté et respirabilité : les tissus utilisés combinent ventilation et performance, évitant toute sensation d’étouffement ou de chaleur excessive.
- Liberté de mouvement : la conception garantit une amplitude totale, que ce soit lors du catch en natation, du pédalage ou des foulées en course. Rien ne freine les gestes.
- Manches Aero High Speed, pour maximiser l’aérodynamisme et réduire la traînée.
- Chamois minimaliste : fin, sec rapidement et discret, il offre le confort nécessaire sur le vélo sans créer d’inconfort ni de frottement lors de la course à pied.
- Traitement DWR (Durable Water Repellent) : le tissu fait perler l’eau et sèche très vite après la natation, évitant la sensation de lourdeur ou d’humidité prolongée.
- Recommandé pour l’Ironman : pensé pour les longues distances, il convient aussi parfaitement aux formats courts et moyens. Tout à coup que je j’aurais la piqûre…
- Détails techniques haut de gamme : manches « cut raw » sans couture gênante, fermeture YKK fluide et fiable, poches discrètes pour gels ou ravitaillement.

Différences entre le trisuit Biemme Aero 2.0 et le Aero 3.1
Contrairement au trisuit Aero 2.0, la collection régulière et présentement disponible en magasin, la combinaison Aero 3.1 est conçu pour les équipes et les collections personnalisées. Cela le rend plus unique, car chaque exemplaire peut être adapté aux couleurs d’un club ou d’un athlète.
Les deux modèles partagent plusieurs points communs. Cependant, le trisuit Biemme Aero 3.1 se distingue par son textile qui inclus certaines des dernières technologies de la marque Biemme :
- Tissu à compression haute densité dans la partie inférieure, pour un soutien musculaire progressif.
- Textile supérieur extrêmement léger et élastique, garantissant confort et fluidité.
- Finitions thermosoudées, pour éliminer les coutures et réduire les points de frottement.
- Corsage ouvrant, pratique pour ventiler ou ajuster pendant les longues sorties.
Mon avis sur le Trisuit Biemme Aero 3.1 (après les essais en conditions réelles)
J’ai eu la chance de tester le Biemme Aero 3.1 dans plusieurs contextes : à l’entraînement, sortie de course avec mon club au travail, et lors du triathlon ÉPIQ.
À la sortie de l’eau, le tissu déperlant DWR fait merveille : le trisuit sèche en quelques minutes, évitant toute sensation de lourdeur. C’est une bonne chose car, le matin de ma course, l’eau était à 16 degrés celcius et le mercure extérieur affichait 15 beaux degrés. C’était pas chaud pour être tout trempe en vélo.
Sur le vélo, le chamois minimaliste a prouvé son efficacité. Tout comme le textile, il sèche très rapidement. Bien qu’ils soit très mince, il est super confortable. La densité du chamoi utilsé est impressionnante pour son épaisseur.
En selle, la compression de la partie inférieure de la combinaison stabilise les muscles et retarde la fatigue.
En course à pied, le confort continue. Le tissu reste léger, la coupe ne frotte pas, limitant au maximum la friction qui crée l’irritation.
Pour un premier triathlon, je ne pouvais pas espérer mieux, tomber sur un trisuit qui allie performance, confort et efficacité dans chaque discipline. Point bonus : le vêtement a pu être personnalisé aux couleurs de mon blogue .





Laisser un commentaire